Un an… Il m’aura fallu un an pour réaliser ce plaid à la façon des designers scandinaves Arne et Carlos.
Je l’ai fini hier soir, pas peu fière. Ma fille m’a dit : « J’aime pas trop les couleurs » mais après l’avoir essayé, ne voulait plus le quitter « Tu as déjà plein de couvertures, toi! ». Oui, mais non!
Comme dirait Florence Foresti, après 40 ans, tu achètes des coussins et tu mets des plaids partout (elle avoue en avoir 47 dans son dernier spectacle, Madame Foresti).

Un plaid émaillé de mille anecdotes

Et contrairement à ce que certains pensent, non, ce ne serait pas mieux d’aller acheter un plaid chez Zodio ou Maisons du monde. Parce qu’il n’y aurait pas autant d’anecdotes glissées au fil de ses mailles. Ce plaid me rappelle des voyages en train, des soirées de Mondial de foot partagées avec mon fils Etienne, des attentes dans les antichambres des médecins, les galets d’Yport, les journées au soleil dans mon hamac… Et ces souvenirs, Maisons du monde, ne me les apporterait pas.
Alors, le voilà, fini : 1,10m par 1,85 m.

Plaid rayé.

Les rayures se succèdent, deux par deux.

Encore un gros plan des rayures, je ne m’en lasse pas 😉

Allez, une dernière.

Les chats (Lorelei au premier plan, Zou, derrière) l’ont tout de suite adopté.

Il est long, très long, long à souhait.

Au fond, au mur, ma guirlande réalisée avec des pots de petits suisses.

Aussi beau à l’envers qu’à l’endroit.

Il est très enveloppant.

Grâce au 100% laine, il est très chaud.

Je tire ma révérence 😉